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La gestion de patrimoine est désormais confrontée à cette même vague d’innovation. Une question cruciale se pose pour l’avenir de la profession : comment intégrer l’IA dans un métier fondé sur la confiance et sur des relations humaines durables ?
L’IA offre une réelle valeur ajoutée. Elle permet par exemple d’automatiser des tâches chronophages ou d’affiner l’analyse de portefeuilles. Mais malgré la course à l’innovation, une vérité essentielle reste inchangée. Les clients apprécient les outils performants, mais ils attendent et ont besoin d’une interaction humaine avec leur conseiller.
Au cours de ma carrière dans le secteur, j’ai vu plusieurs vagues de transformation technologique. L’arrivée des reportings automatisés paraissait autrefois révolutionnaire. La digitalisation de l’onboarding a conduit les acteurs à repenser entièrement la relation client.
À chaque étape, les conseillers qui ont su adopter le changement tout en préservant la proximité avec leurs clients ont renforcé leur position. L’IA s’inscrit dans cette même logique. Elle est puissante, mais elle ne remplacera jamais l’expérience et l’empathie humaines.
Dans l’univers de l’investissement grand public, l’IA est déjà bien présente. De nombreuses applications reposent sur l’automatisation, le machine learning ou l’IA générative pour accompagner les investisseurs autonomes. Cela peut concerner le rééquilibrage de portefeuilles, des suggestions de produits ou encore des analyses de marché en temps réel.
Ce modèle fonctionne bien pour les investisseurs dont les objectifs sont relativement simples.
La gestion de patrimoine est en revanche souvent plus complexe. Les clients peuvent avoir besoin de conseils sur des sujets comme la transmission, la structuration fiscale ou la planification successorale. Ces domaines nécessitent un accompagnement humain.
Aujourd’hui, ces mêmes technologies deviennent accessibles aux CGP.
Les outils basés sur l’IA permettent de gagner du temps, d’améliorer la qualité des analyses et de fluidifier l’expérience client. L’objectif n’est pas de remplacer le conseiller mais de le soutenir.
Au cours des quinze dernières années, la technologie a déjà transformé en profondeur le métier. On peut citer les CRM, les outils de gestion de portefeuilles, les agrégateurs de comptes, l’automatisation de la conformité ou encore la signature électronique.
Toutes ces innovations ont permis des gains d’efficacité sans remettre en cause la valeur centrale du conseiller. Il en ira de même pour l’IA.
Bien utilisée, elle permet d’accéder à des informations plus rapidement, de réduire le temps consacré aux tâches manuelles et d’apporter des réponses plus adaptées aux attentes des clients. Elle doit être vue comme un levier au service de l’expertise du CGP, et non comme un substitut.
Selon un rapport publié par LSEG, 62 % des sociétés de gestion de patrimoine estiment que l’IA peut transformer en profondeur leur activité.
Les CGP peuvent gagner en efficacité et en précision. De leur côté, les clients bénéficient de réponses plus rapides, d’informations plus ciblées et d’une meilleure visibilité sur leurs projets financiers.
Cela dit, la technologie ne remplace pas le conseil humain.
L’IA peut analyser des données et repérer des tendances dans les échanges, mais elle ne peut pas reproduire les compétences qu’un conseiller développe au fil des années, avec l’expérience et la formation.
Les CGP savent lire entre les lignes, ajuster leur approche en fonction de l’état d’esprit du client et accompagner des situations familiales parfois sensibles, comme une succession ou une transmission.
Ces moments sont complexes et chargés d’émotion. Dans ce contexte, l’empathie et le jugement professionnel sont irremplaçables.
Le futur de la gestion de patrimoine repose sur une collaboration entre la technologie et l’humain.
L’IA vient en soutien du conseiller, elle ne doit pas entrer en concurrence avec lui. Elle peut s’occuper des tâches répétitives et opérationnelles, ce qui permet au CGP de se recentrer sur l’essentiel. Écouter, conseiller, créer une relation de confiance.
Une étude montre qu’environ 50 % des clients estiment que les conseils qu’ils reçoivent sont trop génériques. Ils attendent un accompagnement plus personnalisé.
Cela souligne un écart entre les attentes des clients et l’expérience actuellement proposée.
L’IA représente une opportunité pour combler cet écart. Elle permet un accès plus rapide à l’information, des analyses plus complètes et des recommandations plus pertinentes.
Combinée à l’expertise relationnelle du conseiller, elle devient une formule gagnante.
Sur Shares Pro, nous avons par exemple développé Henry, un assistant digital pensé pour simplifier le quotidien des CGP. Henry n’intervient pas sur les portefeuilles. Il agit comme un guide pour aider les CGP à se repérer dans la plateforme. Il permet d’accéder facilement aux fonctionnalités, de suivre les évolutions produit à venir et d’obtenir des réponses rapides aux questions fréquentes.
En faisant gagner du temps, il libère les conseillers pour qu’ils puissent se consacrer à ce qui compte le plus : la relation client.
L’IA va continuer à transformer la gestion de patrimoine. Elle apporte de la rapidité, de l’automatisation et des analyses enrichies.
Mais dans un domaine où les projets financiers sont profondément liés aux émotions, à la famille et à la transmission, elle ne pourra jamais remplacer la valeur du conseil humain.
Pour faire court, mes parents ont toujours su que le design était fait pour moi. Mais j’ai préféré suivre mon propre chemin et poursuivre une carrière d’ingénieur logiciel pendant huit ans et demi… jusqu’au jour où j’ai finalement franchi le pas et réalisé que ce qui me passionnait vraiment, c’était le design produit. Je m’étais promis que je changerais de voie si l’occasion se présentait. Tu peux imaginer ma réaction quand j’ai été sélectionné pour étudier le design produit chez Apple, en Italie.
Je pense que ce qui m’a ouvert les portes de la Fintech, c’est un mélange entre ce que j’ai appris chez Apple et ma relation d’amour-haine avec la finance. J’ai toujours été « ce type » en réunion qui commence par demander « Pourquoi » face aux fameux « On a toujours fait comme ça ». Démystifier le jargon et simplifier au maximum m’a permis de concevoir des produits transparents et accessibles.
Quand le design produit se donne pour mission de clarifier les mécanismes souvent complexes de la finance, il peut vraiment aider les utilisateurs à comprendre, par exemple, comment et pourquoi les marchés évoluent. C’est exactement ce que nous avons fait avec les “Market Updates” sur notre application B2C.
Le design ne se limite pas à « rendre les choses jolies »: il s’agit aussi de répondre aux véritables besoins des utilisateurs.
Prenons un exemple célèbre : entre 2007 et 2009, Google a mené une expérience appelée « 41 nuances de bleu » pour déterminer quelle teinte de bleu générait le plus de clics. Résultat, ils ont estimé que le bon choix de couleur avait entraîné une hausse de revenus publicitaires de 200 M$ par an. Ka-ching !
La clé, c’est la communication : fréquente, claire et efficace. Ensuite, il faut aimer gérer les tickets (vraiment) et s’assurer d’être toujours aligné. Chaque changement doit être suivi de près. Et bien sûr, tout repose sur un bon système design.
Le passage vers Shares Pro a été un vrai défi : il a fallu distinguer ce qu’il fallait absolument conserver de ce qu’il fallait repenser .
Prenons par exemple certaines expériences que nos clients adorent sur notre offre B2C, comme les Plans d’Investissement. On pourrait penser qu’elles fonctionneraient tout aussi bien dans un contexte de gestion de patrimoine… jusqu’au moment où l’on échange avec de nouveaux utilisateurs et où l’on constate à quel point leurs attentes diffèrent.
Pour simplifier cette complexité, notre approche (qui reste la même aujourd’hui), c’est de recueillir un maximum de retours et d’itérer rapidement sur les fonctionnalités qui comptent vraiment pour nos utilisateurs.
L’une de mes citations préférées chez Shares reste « Je vais être pénible, mais… »
Le design produit a toujours été au cœur de l’expérience utilisateur chez Shares. Ce qui a changé aujourd’hui, c’est le niveau de confiance que nous avons gagné en interne et l’impact global que nous avons désormais. Cette confiance nous a permis de pivoter rapidement vers la gestion de patrimoine.
J’ose espérer que cela signifie que l’équipe design a su être exigeante… mais toujours dans le bon sens du terme !
C’est à la fois motivant et vertigineux de voir l’impact potentiel que Shares peut avoir dans ce domaine. Je suis convaincu que le design va jouer un rôle central dans une personnalisation plus poussée, une automatisation renforcée et surtout une meilleure éducation financière.
Les opportunités, notamment autour de l’intelligence artificielle, sont immenses. Et je pense que le design a encore un long chemin à parcourir pour rendre l’investissement et l’épargne plus accessibles, plus humains et finalement plus indispensables qu’on ne le pense.
Conçu pour allier sécurité, clarté et expérience utilisateur moderne, cet espace en lecture seule offre aux clients finaux une vue en temps réel de leurs portefeuilles – sans jamais retirer le contrôle au conseiller.
Les CGP nous ont confié qu’informer leurs clients implique souvent des captures d’écran, des tableurs, des emails et des appels de dernière minute. Pendant ce temps, certaines plateformes offrent des portails clients plus limités ou moins adaptés aux usages actuels.
Nous savions que nous pouvions faire mieux. Nous l’avons fait.
L’Espace Client donne aux clients une visibilité autour de trois axes principaux :
Que signifie « en lecture seule » ?
Les clients ne peuvent pas investir directement ni initier de transactions – toutes les actions d’investissement restent entre les mains du CGP. C’est de la transparence, sans le risque.
Comme l’espace CGP, l’Espace Client peut être basculé en un clic entre l’anglais et le français, fidèle à l’expérience utilisateur haut de gamme de Shares.
L’Espace est déjà disponible, n’hésitez pas à informer vos clients – nouveaux comme existants – qu’ils peuvent consulter leur portefeuille à tout moment, 24h/24 et 7j/7.
Nous avons hâte de connaître vos impressions ainsi que celles de vos clients. En cas de problème, contactez-nous à tout moment à support-team-pro@shares.io.
Et pour toute suggestion à destination de notre équipe produit, écrivez-nous à product@shares.io – nous lisons chaque message et vos retours contribuent à façonner la feuille de route de Shares Pro.
Pour les clients ultra fortunés, près d’un tiers des établissements affirment que le processus peut durer trois mois ou plus, tandis qu’une faible minorité seulement parvient à le finaliser en moins d’une semaine¹. Dans l’ensemble du secteur, la moyenne reste de deux à trois semaines, avec parfois plus de dix interactions nécessaires avant que le client ne soit pleinement intégré².
L’écart entre ces deux expériences ne relève pas seulement d’une question de rapidité, mais d’un changement profond des attentes clients.
Les investisseurs particuliers français ont été formés par les fintechs à exiger un accès instantané, intuitif et transparent à leur argent. La gestion de patrimoine, souvent confrontée à des besoins clients plus complexes, peine encore à suivre ce rythme.
Au cours des cinq dernières années, l’adoption technologique s’est accélérée dans la gestion de patrimoine, en France comme en Europe.
Malgré les progrès, l’écart entre la gestion de patrimoine et l’investissement grand public reste évident pour les clients :
Les CGP doivent souvent gérer une complexité bien plus importante que les applications d’investissement grand public : régulation stricte, besoins clients sophistiqués, et systèmes existants difficiles à remplacer du jour au lendemain.
Ces contraintes expliquent en partie le retard technologique, mais elles ne changent rien à la réalité : les clients attendent désormais la même rapidité et simplicité qu’ils retrouvent ailleurs.
En simplifiant les processus et en adoptant des technologies plus intelligentes, les CGP peuvent créer une expérience fluide dès la première interaction :
La révolution digitale de la gestion de patrimoine en France est déjà en marche.
Ceux qui sauront offrir la rapidité, la transparence et la personnalisation attendues par les clients ne se contenteront pas de préserver leur base. Ils la feront grandir.
Mon passage vers l’investissement et la gestion de patrimoine a été une continuité naturelle de ma passion pour l’innovation et la technologie.
J’ai auparavant dirigé une marque durable en Afrique du Sud et, durant cette période, j’ai eu la chance d’être sélectionnée pour deux programmes sponsorisés : l’un explorant l’économie circulaire, l’autre centré sur la technologie du commerce. Ces expériences m’ont montré comment des approches innovantes, portées par la tech, peuvent transformer des secteurs. Elles ont aussi renforcé mon envie de solutions tournées vers l’avenir.
Sur ces bases, j’ai ensuite été invitée par BFA Global et Mastercard Inclusive Growth à participer au Climate Innovation Challenge: Finance for the Future. Cette opportunité a ancré l’idée que la finance peut mobiliser ses ressources au service de l’innovation et de l’impact.
Quand j’ai décidé d’emprunter une nouvelle voie, j’étais enthousiaste à l’idée d’allier mon esprit entrepreneurial à un secteur en pleine évolution. C’est ce qui m’a menée vers l’investissement et la gestion de patrimoine : un espace où je peux explorer des idées de pointe tout en aidant les autres à construire et développer leur patrimoine.
Ces environnements m’ont appris trois choses clés : agir vite, rester créative et garder l’utilisateur au centre. Ce sont des fondamentaux en finance, où tout évolue rapidement.
Dans la fashion tech et l’e-commerce, j’ai appris à naviguer dans des univers rythmés par des tendances rapides et des comportements clients changeants. Cela a affûté ma capacité à anticiper les mouvements du marché et à adapter les stratégies en conséquence. Surtout, j’ai compris que l’écoute active et l’adéquation produit-besoin sont essentielles, quel que soit le secteur.
Le focus sur la mode circulaire m’a aussi donné une vraie culture de la durabilité et de l’impact à long terme. Ce sont des valeurs que j’apporte aujourd’hui à la gestion de patrimoine.
Mes expériences en stratégie ont renforcé mes réflexes de résolution de problèmes et ma collaboration transversale, pour bâtir des solutions cohérentes qui équilibrent objectifs d’entreprise et besoins utilisateurs. Chez Shares, cela se traduit par une façon de travailler orientée innovation, adaptabilité et sens du client.
Au final, mon parcours me donne une perspective un peu différente : j’aborde la finance non pas seulement comme des chiffres et des produits, mais comme un espace vivant où la technologie rencontre le comportement humain pour créer de vraies opportunités de croissance.
Pour aligner, je commence par comprendre et respecter la façon de travailler de chaque équipe et de chaque personne.
Chaque équipe a son style, son langage et ses préférences de communication. Mon approche consiste à parler leur langage et à m’adapter à leurs modes de collaboration. Ce cadre de respect mutuel favorise l’ouverture et la confiance : on arrive plus vite à des solutions, parce que chacun se sent entendu et valorisé.
J’ai observé que lorsque l’on respecte le rythme et les préférences de chaque département, ils deviennent plus réactifs et engagés. Ce n’est pas seulement de la coordination efficace : c’est une véritable relation de partenariat au service d’objectifs partagés.
Le travail quotidien d’opérations de courtage que je prends en charge chaque matin.
Cela inclut la gestion des opérations sur titres et le reporting précis de toutes les transactions. Ce n’est qu’une partie de mon rôle, mais c’est la première tâche de la journée : elle garantit que tout fonctionne correctement et que les exécutions sont exactes.
Quand c’est bien fait, cela passe inaperçu. C’est normal. Mais c’est le socle de la confiance, de la conformité et de l’efficacité sur lequel repose le reste du business.
La fintech est un écosystème ouvert et dynamique qui valorise les esprits curieux, à l’aise avec la tech et orientés business. On y recherche des personnes capables de résoudre des problèmes de manière créative, d’apprendre en continu et de garder une vraie orientation client.
Le secteur accueille des profils variés : finance, technologie, marketing, design, mais aussi mode ou santé. Ce sont précisément ces regards neufs qui nourrissent l’innovation.
Si vous vous reconnaissez dans cet état d’esprit, lancez-vous. On peut être et faire bien plus que ce que l’on imagine. Ne vous laissez pas enfermer dans un cadre unique. Restez curieux, continuez à vous challenger et à évoluer jusqu’à trouver un parcours qui vous ressemble. La vie est trop courte pour avoir peur de changer de voie : l’essentiel est de choisir des environnements qui vous font grandir.
Au fond, il s’agit de vous rapprocher de la personne que vous voulez devenir. La fintech est un excellent terrain pour cette évolution.
Lorsqu’un client de longue date décède, la relation qu’un CGP a bâtie pendant des années, parfois des décennies, s’interrompt bien trop souvent brutalement. La loyauté ne se transmet pas toujours à la génération suivante.
En réalité, moins de la moitié des héritiers conservent le conseiller de leurs parents. Et même lorsqu’ils le font, un sur quatre change malgré tout dans les deux années suivantes¹. C’est un chiffre frappant, et un signal d’alarme pour les CGP : détenir un portefeuille ne signifie pas détenir une relation.
Le rôle du CGP est de construire une relation de confiance sur le long terme, pour accompagner les clients dans leurs décisions de croissance et de protection de leur patrimoine.
Ce rôle va bien au-delà du choix des investissements. Il consiste à être un guide fiable à travers les grandes étapes de la vie : achat d’un premier bien immobilier, financement des études des enfants, transition professionnelle, préparation à la retraite, et enfin transmission du patrimoine à la génération suivante.
Cette relation conduit naturellement à préparer l’inévitable : le décès du client.
Le rôle du CGP est alors de s’assurer que les volontés du client sont respectées, que ses actifs sont protégés, et que son héritage est transmis conformément à ses valeurs.
La réponse est simple : ils ne se sentent ni vus, ni écoutés, ni concernés.
L’une des raisons est que beaucoup d’héritiers n’ont jamais rencontré le CGP de leurs parents. PwC note qu’environ 65 % des héritiers n’ont aucune relation préalable avec le conseiller financier de la famille².
Autre raison : leurs attentes sont différentes, façonnées par des expériences ultra fluides et centrées sur le digital, qu’ils retrouvent partout ailleurs. Et la gestion de patrimoine n’a, trop souvent, pas suivi le rythme.
Les jeunes générations attendent de la gestion de patrimoine qu’elle soit aussi simple, rapide et transparente que leurs autres services financiers. Ils veulent un accès instantané à l’information, une visualisation interactive de leur portefeuille, et la possibilité de collaborer en ligne avec leur conseiller.
35 % des investisseurs millennials déclarent que les capacités digitales sont un facteur déterminant dans le choix de leur conseiller, pourtant de nombreux CGP s’appuient encore sur des processus papier lents et des portails obsolètes qui ne répondent plus à ces attentes³.
Les conseillers tournés vers l’avenir utilisent déjà des plateformes de gestion de patrimoine modernes pour :
Les outils digitaux ne remplacent pas le conseil humain, ils l’enrichissent. Bien utilisés, ils permettent de combler le fossé intergénérationnel et d’apporter la transparence, la fluidité et la pertinence que recherchent les jeunes clients.
La transmission de patrimoine n’est pas seulement un processus technique. C’est une transformation émotionnelle et relationnelle.
En France, entre 9 000 et 10 000 Mds € devraient être transmis entre générations au cours des 15 prochaines années⁴. Cela souligne à la fois l’ampleur de l’opportunité et l’impératif de planification pour les conseillers.
Si les CGP n’évoluent pas, d’autres le feront à leur place.
Ce moment n’est pas une menace. C’est une opportunité majeure.
Les conseillers qui sauront évoluer ne se contenteront pas de conserver la prochaine génération : ils gagneront leur fidélité, leur confiance, et leur recommandation.
Notes de bas de page :
¹ Source
² Source
³ Source
⁴ Source