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Les ETF à maturité réunissent plusieurs atouts essentiels :
La sélection d’un ETF à maturité repose sur plusieurs paramètres :
Il est également recommandé d’examiner le taux de défaut moyen et la qualité de crédit du portefeuille. Ces éléments figurent dans les documents officiels mis à disposition par les émetteurs d’ETF.
Les ETF à maturité facilitent la construction de portefeuilles à horizon défini, tout en préservant la souplesse opérationnelle.
Ils permettent d’orienter les investisseurs vers des échéances ciblées — “2029”, “2031”, ou autres — sans devoir sélectionner individuellement chaque obligation.
En résumé, une approche simple et disciplinée pour combiner visibilité, diversification et liquidité au sein d’un seul produit.
Le partenariat avec Jérémy Barray est non rémunéré.
Investir comporte un risque de perte en capital.
Ce contenu ne doit pas être interprété comme un conseil en investissement.

DORA est un règlement européen qui impose des standards de cybersécurité aux acteurs financiers, bancaires et assurantiels. L’idée n’est pas de se demander si une attaque aura lieu, mais de s’y préparer : les éviter autant que possible, les contenir lorsqu’elles surviennent et être capable de s’en remettre rapidement.
Les risques liés aux attaques cyber supplantent les risques traditionnels. Les acteurs semblent avoir pris la mesure des impacts potentiels d’une crise. Cette réglementation permet d’asseoir cette logique en créant une culture d’anticipation au sein des entités concernées.
L’obligation de réaliser des tests d’intrusion et celle de superviser la gestion de nos tiers s’inscrivent dans cette démarche : la réglementation nous invite à envisager des alternatives et à prendre compte de l’impact qu’une attaque systémique pourrait avoir sur nos systèmes d’information. L’enjeu est aussi de pouvoir poursuivre son activité en cas de crise, quitte à revenir aux fondamentaux… jusqu’à sortir un papier et un crayon.
Les clients peuvent y voir un véritable gage de confiance. Les mesures imposées par DORA poussent les acteurs à penser la résilience et à garantir un retour à un fonctionnement normal même après un incident.
Sur le long terme, ce socle de confiance crée un terrain plus solide pour innover. Les clients comme les partenaires savent que les fondations technologiques sont sûres et durables. À mesure que la sécurité deviendra un véritable facteur de compétitivité, cette dynamique ne fera que s’amplifier. Si cela permet d’éviter quelques frayeurs inutiles, l’innovation y gagnera !
En imposant des standards exigeants en matière de cybersécurité, de gestion des incidents et de maîtrise des fournisseurs critiques, DORA crée un environnement où les risques systémiques sont mieux contenus. Les acteurs financiers deviennent collectivement des maillons de la résilience du système, une responsabilisation essentielle pour atteindre une maturité cyber durable.
Un équilibre doit néanmoins être préservé : le cadre réglementaire ne peut pas se substituer aux missions premières des équipes sécurité. Les standards constituent un socle commun, non une finalité et ne doivent pas devenir une contrainte rigide détournant l’attention des enjeux opérationnels.
Si DORA renforce la confiance des professionnels comme des particuliers, la menace reste mouvante et la réglementation ne peut éliminer les risques cyber. Ils demeurent, et c’est justement dans cet espace que les organisations les plus matures peuvent se distinguer, en innovant de manière sécurisée. Lorsque les acteurs savent que l’expérimentation repose sur une architecture robuste et que les utilisateurs se sentent protégés, cette confiance devient un véritable gage de compétitivité.
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Pour être logé dans un PEA, un instrument financier doit consacrer au moins 75 % de ses actifs à des actions européennes.
À première vue, cela exclurait les ETF répliquant des indices mondiaux comme le MSCI World ou le S&P 500.
Mais certains émetteurs ont développé une mécanique de réplication ingénieuse permettant de fournir une exposition internationale tout en respectant strictement les critères d’éligibilité.
Contrairement aux ETF dits « physiques », qui détiennent directement les titres composant l’indice, les ETF synthétiques répliquent leur performance par l’intermédiaire d’un swap.
Concrètement, le fournisseur de l’ETF conclut un accord d’échange avec une ou plusieurs banques d’investissement :
Grâce à ce mécanisme, il devient possible de proposer un ETF “World” ou “S&P 500” éligible au PEA, puisque la structure juridique du fonds reste majoritairement investie en actions européennes.
Les émetteurs doivent toutefois respecter des règles strictes de transparence et de gestion du risque de contrepartie : la valeur totale des swaps ne peut généralement pas dépasser 10 % de l’actif net, et les contreparties doivent être des institutions financières solides.
Ces ETF permettent d’accéder à une diversification internationale tout en bénéficiant de la fiscalité attractive du PEA.
Mais avant d’investir, il est indispensable de vérifier l’éligibilité PEA du produit, toujours mentionnée dans sa documentation réglementaire.
Les ETF synthétiques élargissent considérablement le potentiel du PEA. Ils offrent aux investisseurs et aux CGP un accès à des marchés mondiaux tout en préservant les avantages fiscaux de l’enveloppe.
Une innovation technique qui illustre, une fois encore, la capacité de la gestion indicielle à rendre l’investissement plus simple et plus accessible.
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Les Echos
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