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Comment ça marche, concrètement ?

Un ETC ou est un title of creance coté en bourse, émis par un véhicule spécialisé et adossé à l'or physique conservé dans un coffre. Il vise à repliquer le prix spot de l'or de manière quasi 1-pour-1, tout en reprenant les avantages des ETF en matière de transparence, liquidité and of faibles courants frais. L'émetteur dépose l'or en garantie afin de sécuriser l'instrument.

Les principaux avantages

Les ETC or séduisent par leur simplicité d'accès (une seule ligne cotée), leur liquidité en continu, et leurs frais généralement modérés. La détention d'or physique en garantie renforce la sécurité de l'investisseur, tandis que la réplication du prix du métal facilite la exhibition reading.

Vigilance points

Même si leur fonctionnement est clair, certains aspects méritent une attention particulière :

  • Legal nature : un ETC constitue une créance envers l'émetteur ; la protection repose sur les actifs de garantie (l'or physique).

  • Frais & suivi du spot : les frais de gestion et de stockage entraînent un léger écart de performance, cumulatif dans le temps, par rapport au cours spot.

  • Devise : si l'ETC est coté en euros mais adossé à de l'or libellé en USD, juin exposition au risque de changement can subsister in the absence de couverture.

  • Eligibilité : les ETC ne sont pas des instruments UCITS et ne sont donc pas accessibles dans toutes les enveloppes fiscales ou assurantielles.

Par ailleurs, le detention mode de l'or (alloué ou non alloué), le choice of depositary et la quality of sûretés program (ségrégation, audits) constituant des éléments essentiels de la due diligence pour les professionnels.

En résumé

Les ETC ou offrent un accès coté, simple et relativement peu coûteux à l'or physique, sans contrainte logistique. Pour des besoins d'allocation spécifiques, ils peuvent constituer un outil d'exposition pertinent, à condition d'évaluer avec rigueur la legal structure, la guarantee policy, moins frais, la devise et l'éligibilité aux différentes enveloppes d'investissement.

Le partenariat avec Jérémy Barray n'est pas rémunéré.
Investir comporte un risque de perte en capital. Ce contenu ne doit pas être interprété comme un conseil en investissement.

Même les investisseurs les plus aguerris peuvent laisser leurs émotions influencer leurs décisions face à l’incertitude. Pour les conseillers en gestion de patrimoine, comprendre la psychologie à l’origine de ces réactions est essentiel pour aider leurs clients à rester alignés sur leurs objectifs à long terme.

Dans cet article, nous explorons comment la finance comportementale éclaire la prise de décision des investisseurs en période de turbulences, et comment Shares Pro aide les conseillers à mieux gérer à la fois les portefeuilles… et les relations.

Lorsque les marchés chutent brutalement, l’instinct prend souvent le dessus. Le cerveau humain est programmé pour éviter la douleur, et les pertes financières déclenchent une réaction neurologique similaire à celle provoquée par un danger physique.

Les travaux du prix Nobel Daniel Kahneman montrent que la douleur liée à une perte est environ deux fois plus intense que le plaisir ressenti pour un gain équivalent – un phénomène connu sous le nom d’aversion à la perte. Ce biais pousse souvent les investisseurs à vendre au pire moment, enregistrant ainsi leurs pertes au lieu d’attendre la reprise.

La psychologie du stress de marché

Un autre piège courant est le biais de récence, qui conduit à accorder une importance excessive aux événements récents. Lors des corrections de marché, les pertes à court terme éclipsent des années de performance positive, entraînant des décisions précipitées qui fragilisent les stratégies de long terme.

Selon une étude menée par Morningstar de 2023, les décisions émotionnelles peuvent réduire les rendements des investisseurs de 1,5 à 2 points de pourcentage par an – un écart souvent désigné sous le terme de “behaviour gap”.

Les biais comportementaux courants en période de volatilité

Comprendre ces biais permet aux conseillers d’anticiper les réactions des clients et d’adapter leur communication et leur gestion pour les aider à garder le cap.

  1. Aversion à la perte
    Les clients peuvent se concentrer de façon excessive sur l’évitement des pertes, même lorsque les fondamentaux restent solides.

    Approche possible : reformuler les échanges autour des objectifs à long terme et des probabilités de reprise plutôt que sur la douleur immédiate.

  2. Comportement grégaire
    Lorsque les médias amplifient la peur ou l’optimisme, certains clients peuvent être tentés de suivre le mouvement collectif.

    Approche possible : partager des données montrant que les vagues de ventes ou d’achats massifs interviennent souvent après les points d’inflexion du marché.

  3. Excès de confiance
    Après une période de forte performance, certains clients peuvent penser que leur stratégie (ou leur intuition) est infaillible.

    Approche possible : utiliser des visualisations de données et des analyses de performance pour illustrer les expositions au risque et les manques de diversification.

  4. Biais de confirmation
    Les investisseurs cherchent des informations qui valident leurs convictions – par exemple, en ne consultant que des analyses pessimistes ou haussières.

    Approche possible : encourager un examen objectif des données de portefeuille et des discussions fondées sur des preuves.

Pour le conseiller, rester objectif, juste et impartial demeure fondamental.

La communication comme stabilisateur

La finance comportementale ne consiste pas seulement à comprendre les biais : elle implique aussi une communication capable de les neutraliser.
Les clients qui se sentent informés et accompagnés sont moins susceptibles d’agir de manière impulsive. Des rapports transparents, un accès fluide aux données et une communication cohérente renforcent la confiance, même en période de turbulences.

C’est précisément là que Shares Pro apporte une véritable valeur ajoutée :

  • Le Portail Client offre aux clients finaux une vue transparente et en temps réel des avoirs – réduisant ainsi l’anxiété en période de volatilité.

  • Le Suivi de Portefeuille permet aux conseillers de visualiser la performance à long terme, la diversification et les phases de reprise grâce à des visualisations claires.

  • L’Univers d’Actifs met à disposition une large gamme d’instruments, permettant aux conseillers de repositionner les portefeuilles de manière proactive, plutôt que réactive.

En combinant compréhension comportementale et technologie, les conseillers peuvent maintenir la confiance et aider leurs clients à rester fidèles à leur stratégie de long terme.

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Instantané de données : comportement vs. marchés

Les données comportementales montrent systématiquement que c’est la psychologie des investisseurs – et pas seulement les rendements du marché – qui détermine les résultats à long terme.

  • L’analyse quantitative du comportement des investisseurs (2023) de Dalbar révèle que l’investisseur moyen en fonds actions aux États-Unis a sous-performé le marché de 1,7 point de pourcentage par an sur 20 ans, en raison de décisions émotionnelles.

  • De leur côté, Friesen & Sapp (2007) ont étudié le timing des investissements en fonds actions entre 1991 et 2004, concluant que les erreurs de timing réduisent les rendements d’environ 1,56 % par an.

Ces constats rappellent l’importance d’une gestion proactive et d’une communication constante – deux leviers que les outils digitaux comme Shares Pro permettent de systématiser.

Transformer l’analyse en action

Les conseillers peuvent appliquer les principes de la finance comportementale de trois façons concrètes :

  • Anticiper : parler de la volatilité avant qu’elle ne survienne. Fixer les attentes permet de limiter les réactions émotionnelles lors des fluctuations de marché.

  • Transparence des données : utiliser les rapports de Shares Pro pour présenter des performances et indicateurs de diversification factuels. Les données coupent court à l’émotion.

  • Gestion automatisée : mettre en place des rééquilibrages automatiques ou des plans d’investissement structurés pour maintenir les portefeuilles alignés avec la stratégie et limiter les changements impulsifs.

Conclusion

La volatilité des marchés est inévitable – les réactions émotionnelles ne le sont pas. La finance comportementale offre aux conseillers un cadre pour comprendre et gérer la dimension humaine de l’investissement.

En alliant ces insights à la technologie, les conseillers peuvent offrir une expérience d’investissement plus calme et plus disciplinée.

Shares Pro rend cela possible en fournissant aux conseillers comme à leurs clients la visibilité, les données et la confiance nécessaires pour tenir le cap – même quand les marchés tanguent.

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Travailler dans une entreprise hybride est une vraie fierté. Cela signifie que nous recrutons sur la base du talent, et non du lieu de résidence. Cela veut aussi dire que nous travaillons avec des personnes venues du monde entier, qui apportent chacune leurs idées, leurs perspectives et leurs façons de penser. C’est ce qui rend chaque journée unique – et, au final, ce qui nous permet de construire un meilleur produit et une meilleure entreprise.

Mais lorsque l’on est répartis sur différents fuseaux horaires et pays, les moments passés vraiment ensembles sont rares. Et quand ils arrivent, ils sont précieux.

La réalité du travail à distance

Depuis 2020, le télétravail est devenu la norme pour de nombreuses entreprises. Les collaborateurs recherchent plus de flexibilité et de confiance. Une étude récente a révélé que 98% des travailleurs à distance souhaitent continuer à travailler ainsi, d’une manière ou d’une autre, tout au long de leur carrière. Ce mode de travail n’est donc pas une mode passagère – il s’est imposé comme une norme durable.

Chez Shares, nous l’avons adopté dès le départ. Mais un modèle hybride ne garantit pas à lui seul une culture forte. Lorsqu’une équipe est distribuée, il faut créer, volontairement, des espaces où les gens peuvent se connecter. Sans ces moments, on peut facilement perdre de vue la vision d’ensemble.

Nous veillons à ce que notre communication interne soit claire et que chacun se sente connecté à notre mission. Mais il est indéniable que certains échanges en face-à-face restent irremplaçables. 

C’était précisément le but de cet offsite.

Un bon moment pour faire le point

Cet offsite est tombé à pic, cette année a été la plus intense que nous ayons connue.

Avec le lancement de nos offres Pro et Solutions, notre périmètre s’est élargi, le rythme s’est accéléré, et les enjeux sont devenus plus élevés que jamais.

Être réunis nous a permis de prendre du recul.

Harjas a partagé une rétrospective honnête sur le chemin parcouru : les apprentissages, les défis, les pivots. Puis, Ben et François nous ont présenté la suite et la vision pour l’avenir.

Nous avons également organisé un “Ask Me Anything” en direct avec les fondateurs. Aucune question n’était taboue : les échanges ont été francs sur la stratégie, le business et les perspectives. Cet exercice n’a rien d’exceptionnel, il s’inscrit dans notre culture. Nous le faisons chaque mois lors de nos All Hands, et c’est devenu un pilier de notre manière de travailler. Créer un espace où les conversations ouvertes, même difficiles, ont toute leur place est essentiel. Cela renforce la confiance et donne à chacun la clarté nécessaire pour avancer vite.

Construire quelque chose dont on est fier

Au-delà des produits que nous développons, nous accordons une grande importance à la culture que nous construisons. Nous voulons créer un environnement dont chacun soit fier de faire partie. Cette fierté ne se décrète pas : elle se mérite et se ressent.

On ne peut pas la mesurer, mais elle se manifeste dans les détails.

À Cracovie, nous avons lancé une collection de merchandising en édition limitée pour célébrer l’événement. Dès leur distribution, les t-shirts se sont multipliés autour de nous. Personne n’avait demandé à les porter, tout le monde l’a simplement fait, par envie. Dans les ateliers, au dîner, ou même à mi-chemin sur un mur d’escalade, ils étaient là.

Cela peut paraître anecdotique, mais c’est un signe fort. Les gens se sentent impliqués, responsables et fiers de ce qu’ils construisent. C’est exactement ce que nous recherchons.

Pourquoi les off-sites en valent la peine

Faire venir 100 personnes de près de 20 pays au même endroit demande du travail, du budget, de la coordination et beaucoup de patience. Ce n’était pas simple, mais cela en valait largement la peine.

À Cracovie, nous avons animé des ateliers, tenu des sessions stratégiques, exploré la ville, fait de l’escalade et du karting, pratiqué le yoga et partagé des repas. Des équipes qui échangent peu au quotidien ont enfin eu l’occasion de se parler longuement. Chacun a gagné en contexte, en compréhension mutuelle et en lien humain.

Et certains des moments les plus marquants n’avaient rien à voir avec le produit, ni même avec l’entreprise. Ils comptent pourtant tout autant.
Chez Shares, chaque collaborateur est aussi actionnaire. Avoir du skin in the game change tout : ce n’est pas “juste un job”. À la vitesse à laquelle nous avançons, il est essentiel de prendre plaisir à travailler ensemble !

Un offsite n’est pas une solution miracle, mais c’est une respiration, un moment pour faire une pause et profiter pleinement de la présence des autres.

Merci

Merci aux fondateurs, pour avoir soutenu ce projet et lui avoir donné toute son importance.
Merci aux équipes qui ont tout organisé, de la logistique aux contenus.
Et merci à chacun d’avoir contribué à faire de cet offsite un moment inoubliable.

Tutoriels produit

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Press coverage

Le Figaro

7/1/2025

Shares rachète l'activité de PER Bancaire d'Inter Invest

None

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Les Echos

24/5/2024

Shares : c'est quoi cette appli d'investissement soutenue par les soeurs Williams ?

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tech.eu

28/3/2025

AXA France partners with Shares to simplify corporate savings plans

AXA France has entered a strategic partnership with fintech startup Shares to combine both their corporate savings offerings.

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